Nos services

Bénéficiez des ressources nécessaires au
développement de votre bien-être.


Évaluation neuropsychologique

Élaboration
d'une
solution sur mesure

1 Rencontre avec le spécialiste: Entrevue complète pour découvrir les difficultés et cibler les besoins.
2 Évaluation et tests: Évaluation approfondie et personnalisée du patient.
3 Diagnostic et recommandations: Remise du rapport et présentation du plan d’action personnalisé.

À qui s'adresse nos services

bambins et jeunes enfants

2 à 4 ans

Étudiants et adolescents

5 à 17 ans

Adultes

18 à 65 ans

Personnes âgées

66 ans et +

Témoignages

Études de cas

L’expertise développée des Centres Neuropsy est une ressource pour tous: enfants et adultes

Myriam, 21 ans
Toujours au cégep

Myriam est âgée de 21 ans, elle éprouve des difficultés scolaires depuis son primaire. Aujourd'hui, ses études collégiales sont minées par celles-ci.

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Le client

Myriam est âgée de 21 ans, elle éprouve des difficultés scolaires depuis son primaire. Aujourd'hui, ses études collégiales sont minées par celles-ci.

Le défi

Myriam a fini par réussir ses cours au secondaire, mais elle bénéficiait d’un encadrement particulier offert par son institution scolaire, et travaillait beaucoup plus d’heures comparativement à ses pairs. Lors de sa poursuite de ses études au CEGEP, Myriam n’avait plus l’aide et les accommodements de ses enseignants du secondaire. En conséquence, ses premiers échecs l’ont déstabilisé. Après plusieurs changements de programmes, elle en était venue à la conclusion que les études n’étaient pas faites pour elle. Cependant avant d’abandonner, elle consulta le conseiller en orientation qui lui a suggéré une évaluation en neuropsychologie pour essayer de voir si la chute drastique de son rendement ne serait pas due à une situation hors de son contrôle.

La solution

Un mois plus tard, Myriam découvrait qu’elle était dyslexique. Une évaluation en neuropsychologie a révélé que ses difficultés étaient présentes depuis le primaire. Ses enseignants lui avaient toujours donné la note de passage puisqu'elle travaillait très fort et qu’elle était motivée. Au CEGEP, Myriam lisait toujours très lentement, de manière saccadée et avait une compréhension limitée des textes. Avec le diagnostic et les recommandations du neuropsychologue, le conseiller en orientation du CEGEP a pu lui offrir des solutions académiques. Il lui a octroyé 30% plus de temps pour faire ses examens et travaux, une personne attitrée pour faire sa prise de note dans ses cours, ainsi que l’utilisation d’un ordinateur avec un correcteur de texte pour compléter ses examens. Myriam bénéficie de l’utilisation de programmes et d'outils spécialisés pour compenser ses difficultés et poursuivre ses études.

Le résultat

Myriam est maintenant une étudiante universitaire qui réussit très bien. L’histoire de Myriam n’est pas unique. Nous voyons ce type de difficultés couramment dans le cadre de notre profession. Ne soyez jamais leurrés par vos craintes; si vous n’êtes pas capables d’atteindre votre plein potentiel académique malgré tous vos efforts, ce n’est probablement pas dû à votre manque motivation. Il y a certainement une autre source à tout cela. Consultez-nous, nous saurons vous aider.

Mathis, 2 ans et demi
ne parle pas

Mathis aura bientôt deux ans et demi. Il ne parle toujours pas et sa mère est préoccupée par cette situation, de plus rien pour calmer ses inquiétudes, la liste d’attente au CSSS est de 9 mois et celle de l’hôpital est de 12 mois!

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Le patient

Mathis aura bientôt deux ans et demi. Il ne parle toujours pas et sa mère est préoccupée par cette situation, de plus rien pour calmer ses inquiétudes, la liste d’attente au CSSS est de 9 mois et celle de l’hôpital est de 12 mois!

Le défi

La mère de Mathis est anxieuse. Son développement physique n’est pas en cause. Au contraire, elle aurait préféré qu’il soit un peu moins actif! Mathis ne parle pas et il n'a aucun intérêt envers sa famille, sauf pour ses besoins tels que pour manger, boire ou atteindre son jouet favori. Le pédiatre lui a suggéré un examen en audiologie et une évaluation dans une clinique de développement. La mère qui a fait des recherches et a échangé avec d’autres parents sur des forums, se pose toujours la même question : « Est-il trop tôt pour investiguer? ».

La solution

Lors d’une courte entrevue avec le neuropsychologue, le profil de Mathis est devenu plus clair pour les parents. En plus de leurs préoccupations quant à son développement langagier, ceux-ci nous révèlent également que Mathis est un enfant difficile. C’est d’autant plus évident lorsqu’ils sont à l’extérieur de leur résidence. Après plus plusieurs séances d’évaluations, seul, avec ses parents ainsi qu’en milieu de garde, nous avons noté que Mathis n’a toujours pas acquis les rudiments de la communication non-verbale. Les tests ADOS et ADI ont confirmé la problématique en plus de déterminer que Mathis est un enfant présentant un Trouble du Spectre de l’Autisme (TSA). Toutefois, nos tests cognitifs nous ont également permis de comprendre les grandes forces de Mathis. Plus spécifiquement, que son raisonnement et sa compréhension non-verbale sont intacts; qu’il était tout à fait intelligent pour son âge. En collaboration avec le pédiatre et l’audiologiste, notre diagnostic de TSA a été reconnu par toutes les institutions de santé publique au Québec. De plus, avec l’aide et le soutien d’une travailleuse sociale, notre diagnostic a fait en sortes que Mathis a pu bénéficier des services de soutien et de stimulations spécialisés du CSSS et du Centre de Réadaptation de son secteur. Une liste d’attente pour un simple diagnostic, sans même l’obtention de services, est passée de 18 mois à 60 jours grâce aux Centres Neuropsy.

Le résultat

Mathis fréquente maintenant la maternelle et tout va pour le mieux. Il parle, joue et participe à toutes les activités scolaires. Il n’est peut-être pas l’enfant le plus populaire du groupe, mais il est bien intégré. Avec notre rapport d’évaluation, les parents et l’école savaient comment intervenir auprès de Mathis avant même de l’avoir rencontré. Le cheminement est si positif, qu’il sera intégré en classe régulière pour la prochaine année scolaire. Avec le support d’une accompagnatrice, ses débuts de sa scolarisation au primaire seront sûrement un succès. Peu de temps après la fin de nos consultations, les parents savaient finalement à quoi s’attendre et ce qu’ils devaient faire pour remédier à la situation du mieux qu’ils pouvaient. Avec le soutien de nos collaborateurs, ils ont pu obtenir le support qu’ils avaient besoin pour comprendre Mathis, sa condition, mais aussi pour adresser la situation à la maison et stimuler le développement de Mathis.

Léa, 8 ans
n'aime pas l'école

Léa va finir sa 2ème année, mais son enseignante et ses parents sont inquiets. L’école n’est pas facile pour Léa. Ses parents veulent lui fournir de l’aide. L’école leur suggère une évaluation.

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Le patient

Léa va finir sa 2ème année du primaire, mais son enseignante et ses parents sont inquiets. L’école n’est pas facile pour Léa. Ses parents veulent lui fournir de l’aide, mais rien ne semble suffisant. L’école leur suggère une évaluation neuropsychologique pour comprendre pourquoi que Léa ne réussit pas à son plein potentiel.

Le défi

L’école a toujours été plus difficile pour Léa. Bien que sa motivation et son désir d’apprentissage soient présents, les rudiments de la lecture et de l’écriture représentent toujours un obstacle particulièrement important pour la jeune élève. Malgré le suivi de l’orthopédagogue scolaire depuis la 1ère année, d’un suivi additionnel par une enseignante au privé depuis le début de sa 2ème année, en plus des longues périodes d’études les soirs et les fins de semaine, Léa ne semble pas récupérer ses retards. Au contraire, les travaux deviennent de plus en plus compliqués. Ses parents et son enseignante appréhendent la 3ème année. Ils savent pertinemment que Léa ne sera pas apte d’atteindre les objectifs scolaires et se demandent si une reprise de la 2ème année serait inévitable ou s’ils devraient plutôt considérer la prise d’une médication.

La solution

Après deux séances d’évaluation, les parents avaient finalement les réponses à tout leur questionnement. Léa était une jeune fille intelligente. Elle ne présentait aucun problème intellectuel, mnésique ou d’attention. En fait, Léa ne présentait aucun symptôme d’inattention, ce qui nous permettait d'exclure quelconque hypothèse d’un TDA/H, ou même l’usage d’une médication. Au contraire, Léa était simplement dyslexique. Le diagnostic a eu l'effet d'une bouffée d’air frais pour les parents. Il leur a permis de mettre en contexte les faiblesses et les obstacles auxquels Léa fait face. La mère a pu comprendre pourquoi Léa semblait toujours incapable de mémoriser l’orthographe des mots et pourquoi elle ne semblait pas comprendre les textes qu’elle venait tout juste de lire.

Le résultat

Nous avons donc mis en place des séances de soutien en orthopédagogie centrées sur l’apprentissage des rudiments de la correspondance grapho-phonémique, ainsi que des stratégies de lecture spécialisées. En combinaison à une diminution de la charge de travail au profit de la qualité des apprentissages, ainsi que certains outils spécialisés pour les enfants du 2ème cycle, Léa a finalement commencé à faire des progrès plus intéressants. Fini la période des devoirs stressantes et compliquées, celle-ci est maintenant plaisante et productive. C’est seulement en comprenant les causes des difficultés scolaires d’un enfant qu’un parent peut intervenir efficacement. Consultez-nous, nous saurons vous aider.

Karim, 5 ans
Un enfant turbulent

Karim est beau, souriant, heureux, mais ses parents sont totalement épuisés. Karim ne réfléchit pas avant d’agir. Il est turbulent et incontrôlable. Ses parents ne savent plus comment agir avec lui.

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Le client

Karim est beau, souriant, heureux, mais ses parents sont totalement épuisés. Karim ne réfléchit pas avant d’agir. Il est turbulent et incontrôlable. Ses parents ne savent plus comment agir avec lui.

Le défi

Depuis ses débuts de fréquentations en milieu de garde, un seul mot décrit Karim : ÉNERGIE. Il est maintenant à la maternelle et son enseignant demande de rencontrer les parents. Il leur explique que Karim n’est pas particulièrement populaire auprès des autres enfants. Qu'en fait, il est agité et turbulent. Il ne s’arrête pas assez longtemps pour écouter les instructions et requiert un encadrement très serré pour compléter une tâche. Tout ceci a un impact significatif sur l’atmosphère de la classe, et les autres élèves se plaignent de ces agissements. Ceci n’est pas une surprise pour ses parents. Karim vit la même situation au soccer, à ses cours de natation et à la maison. Ses parents sont épuisés et ne savent plus comment s’y prendre pour le ralentir. Ils croient avoir tout essayé, incluant des longues périodes d’exercices et des produits naturels.

La solution

Après deux séances d’évaluation, les parents avaient finalement les réponses à leur questionnement. Malgré des séances d’évaluation complétées dans un contexte calme et serein, dans un local fermé sans fenêtres et bruits ambiants, avec un encadrement serré 1-à-1 avec l’examinateur en matinée, Karim est demeuré agité et inattentif, incapable d’organiser un travail de manière indépendante pour son âge. Les résultats de l’évaluation étaient éloquents, Karim présentait tous les symptômes d’un trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH).

Le résultat

La première année du primaire été un moment décisif pour le parcours scolaire de Karim et grâce à l’intervention précoce des parents, elle fût un succès. En travaillant en collaboration avec nos intervenants, un plan d’intervention individualisé (PII) qui a été élaboré spécifiquement pour Karim, et une intervention pharmacologique introduite tout au long de l’été. Avec les essais pharmacologiques, les parents et le médecin traitant ont pu trouver une médication adaptée pour Karim, sans effets secondaires importants. D’ailleurs, avec celle-ci, le parcours de Karim a semblé changer pour le mieux. Fini les débordements excessifs et les crises interminables, les colères et les disputes avec les amis. Karim semblait être heureux et beaucoup plus populaire à l’école. C’est seulement en comprenant les causes des difficultés scolaires de son enfant qu’un parent peut intervenir efficacement. Consultez-nous, nous saurons vous aider.

Thérèse, 79 ans
Oublie tout

Thérèse aura bientôt 80 ans. Elle vit seule depuis longtemps. Elle a changé dernièrement et ses enfants sont inquiets pour elle. Ils la trouvent plutôt confuse, parlant de choses hors contexte et souvent sans lien apparent à la discussion en cours. Ils ne savent plus quoi faire ni quoi dire.

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Le client

Thérèse aura bientôt 80 ans. Elle vit seule depuis longtemps. Elle a changé dernièrement et ses enfants sont inquiets pour elle. Ils la trouvent plutôt confuse, parlant de choses hors contexte et souvent sans lien apparent à la discussion en cours. Ils ne savent plus quoi faire ni quoi dire.

Le défi

Thérèse est une femme fière. Elle ne demande de l’aide que très rarement, et uniquement pour des choses que son corps ne lui permet plus de faire. Ces dernières années, Thérèse attire des regards étranges, ses enfants ont remarqué que ses propos sont plutôt étranges et incohérents. D’après eux, leur mère perdrait constamment le fil de ses idées, sautant d’un sujet de conversation à un autre, et souvent, sans aucun lien. Chose étrange, ses enfants ont toutefois relevés qu’elle ne se perd pas, qu’elle n‘oublie pas ses rendez-vous importants, et qu’elle accomplit toujours ses activités quotidiennes sans problème. Cette incohérence dans son fonctionnement au quotidien est ce qui inquiète ses enfants le plus, ils ne savent plus quoi en penser ou en faire.

La solution

L’évaluation a démontré que Thérèse était en santé. Autres que des faiblesses qualitatives normales, au niveau de la mémoire et de son niveau d’indépendance, Thérèse semblait n’avoir aucun problème. Au contraire, nous avons été capables d’exclure quelconque hypothèse de début de démence ou d’atteinte neurologique. La réponse était beaucoup plus simple que prévue, et très simple à solutionner : Thérèse perdait l'ouïe. Elle ne suivait plus les conversations et parlait de choses hors contexte parce qu’elle n’entendait pas ce qui était dit. Un audiogramme complété en moins d’une quinzaine de minutes avait résolu son problème.

Le résultat

Les enfants de Thérèse étaient soulagés; leur mère n’était pas démente. Un appareil auditif semblait avoir donné une nouvelle vie à Thérèse. Elle était devenue plus heureuse et ses enfants ne craignaient plus pour son état de santé. Au contraire, elle semblait avoir eu un regain d’indépendance et de confiance. Elle ne se dissimulait plus au coin de la table lors des souper de famille. Voilà pourquoi il est essentiel de comprendre les causes des difficultés d’une personne pour qu’un parent puisse intervenir efficacement. Consultez-nous, nous saurons vous aider.

Kim, 12 ans
Solitaire et particulière

Kim va bientôt aller au secondaire, mais ses parents sont inquiets. Elle semble être différente des autres enfants. Elle n’a pas beaucoup d’amis et semble plus préoccupée par ses jeux que par son intégration sociale.

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Le client

Kim va bientôt aller au secondaire, mais ses parents sont inquiets. Elle semble être différente des autres enfants. Elle n’a pas beaucoup d’amis et semble plus préoccupée par ses jeux que par son intégration sociale.

Le défi

Depuis ses débuts en milieu de garde, Kim a toujours été particulière. Elle joue près des autres enfants, mais pas vraiment avec eux. Plus le temps passe, plus ces particularités sont évidentes. Elle aimerait jouer avec les autres enfants et se plaint régulièrement de ne pas avoir de « confident ». Ses parents nous affirment qu’elle mentionne plus fréquemment le terme « confident » qu’ « ami ». D'ailleurs, ils trouvent que son vocabulaire est extraordinaire pour son âge, s’exprimant avec un lexique approfondi et avec un accent pseudo-français qu’ils ne peuvent expliquer. Malgré ses capacités langagières plutôt développées à son âge, Kim ne semble pas capable de comprendre aisément les textes qu'elle lit ou même les blagues qu'on lui fait. En fait, ses parents ont l’impression que Kim n’a pas le sens de l’humour et qu'elle prend tout au pied de la lettre.

La solution

L’évaluation de Kim nous a permis de comprendre qu'elle a un profil atypique. Elle présente effectivement un excellent vocabulaire particulièrement rigide et concret. En fait, Kim ne semble pas comprendre les subtilités du langage dont le sarcasme et les règles de la vie sociale. En plus d'avoir un accent pseudo-français, Kim est fascinée par les horaires d’autobus, les papillons et les petites roches qu’elle ramasse à l'école. Les résultats de nos tests, combinés aux questionnaires remplis par les parents et les intervenants scolaires, nous ont permis de conclure que Kim a, en réalité, le profil d’une étudiante sur le spectre de l’autisme, plus spécifiquement un Syndrome d’Asperger. Suite au diagnostic, ses parents nous ont expliqué qu’ils ont toujours soupçonné des difficultés particulières chez leur fille. Ils voyaient bien que Kim n’était pas une jeune fille typique. Ils ne pouvaient pas comprendre de quelle façon elle était différente des autres.

Le résultat

Un diagnostic aussi tardif est typique chez les enfants présentant un Syndrome d’Asperger puisque les symptômes ne sont pas aussi apparents en jeune âge. En effet, le développement rapide d'un vocabulaire complexe donne l’apparence à un enfant d'être précoce et particulièrement intelligent. C’est pour ces raisons que les particularités sociales et académiques prennent les parents par surprise. L'intégration de ces enfants se fait relativement bien avec un soutien scolaire adapté et des activités spécialisées pour promouvoir l’entraînement d’habiletés sociales. En fait, leur pronostic est excellent grâce à leur potentiel intellectuel. C’est seulement en comprenant les causes des difficultés sociales et scolaires de leurs enfants que les parents peuvent intervenir efficacement.

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